Toute activité a son propre vocabulaire. La généalogie n’échappe pas à cette règle et le jeune généalogiste devra commencer à se familiariser avec ce vocabulaire spécifique. Un texte pédagogique de Nathalie pour l’association J&G.
Toute activité recèle ses propres codes, règles et mots spécifiques. La généalogie n'échappe pas à la règle, bien au contraire, et ses mots - parfois mystérieux pour le néophyte - plaisent au jeune généalogiste. La généalogie n'est pas une activité courante dans un établissement scolaire. Le jeune apprécie de faire partie d'un groupe social reconnu, donc faire partie d'un club ou atelier de généalogie lui permet de se distinguer.
Il faut commencer par le familiariser avec les liens de parenté en le faisant chercher dans sa propre famille : Enzo, le fils de tonton Cédric, c'est mon cousin et tonton Cédric est le frère de Maman, Mais il est aussi le fils de Papi et Mamie ! Puis la notion de génération, de branche, etc... Pour illustrer le propos on a rapidement recours à un dessin sous forme d'arbre généalogique, on aborde l'ascendance, la descendance, les fratries... La numérotation de Sosa aide à classer, encore faut-il l'expliquer aussi !
Afin de pouvoir mémoriser tout ce vocabulaire spécifique, qui bientôt n'aura plus de secret pour lui, le jeune a besoin de définition simple et d'exemple précis pris dans sa famille, à recopier dans un carnet, un cahier ou un répertoire voué à ses recherches. Il ne faut pas oublier que certains mots semblent évidents aux adultes mais sont totalement inconnus des jeunes. Notamment les logiciels de généalogie, fort appréciés des jeunes, proposent de nombreux détails sur chaque fiche d'individu dont le sens peut leur échapper à cause de leur contexte familial, culturel, religieux (inhumation, baptême, bar-mitsva...).
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